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IFRS en resumé




II. Le cadre international

Liste des normes IAS/IFRS
  • IAS 1 Présentation des états financiers
  • IAS 2 Stocks
  • IAS 14 Information sectorielle…
  • IAS 36 Dépréciation d’actifs
  • IAS 37 Provisions passif et actifs éventuels
  • IAS 38 Immobilisations incorporelles
  • IAS 41 Actifs biologiques
è Fin des IAS/début des IFRS
·         IFRS 1ère application
·         IFRS paiement fondé sur des actions
·         IFRS 3 Regroupement d’entreprises
·         IFRS 4 Contrat d’assurances
·         IFRS 5 Actifs non courant ………..


Champ d’application des normes IAS/IFRS à partir de 2005


Comptes sociaux (indiv)
Comptes consolidés (de grp)
Sociétés non cotées
Non
Option IAS/IFRS
Sociétés cotés
Non
IAS/IFRS Obligatoire en UE (En France : 1000 gps cotés et 28000 filiales,
En Europe : 7000 sociétés cotées)


Les objectifs des états financiers

  • Des états utiles pour prendre des décisions économiques qui puissent fournir une information sur :
      • La situation financière de la société
      • La performance de l’entreprise
      • La variation de la situation nette (K social + Réserves = Kx propres)
  • 2 principes de Base :
      • Comptabilité d’engagement, ici on tient compte des charges et des produits dès qu’ils sont engagés et cela quelque soit la date de leur règlement.
      • Continuité d’exploitation


Les 10 caractéristiques qualitatives de l’information financière

1.      Intelligibilité, le lecteur des comptes doit pouvoir se forger une opinion éclairée à la lecture des comptes.
2.      Pertinence, info qui permet de prendre une décision économique.
Une information est pertinente selon :
·         Sa nature
·         Son importance
3.      Compensation, principe de non compensation
4.      Importance relative, non diffusion des infos significatives. Le seuil de signification dépend ici du professionnel.
Exemple : Baisse du CA d’1 filiale de 20%.
Cependant au niveau du gpe, le CA de cette filiale représente environ 5%.
5.      Fiabilité, une information est fiable si elle peut être comptabilisé sans risque d’erreur.
La fiabilité suppose alors le respect de 4 conditions :
6.      Image fidèle (et permanence des méthodes)
7.      Prééminence de la substance sur la forme ou encore, prééminence de la réalité économique sur l’apparence juridique.
Les faits doivent être enregistrés conformément à la réalité économique et non pas à leur forme juridique.
En France on a une vision patrimoniale.
Exemple 1: Le cas du crédit bail.
  • Sur le plan juridique : L’entreprise qui a recourt au C.bail n’est pas propriétaire donc le bien qui fait objet du C.bail ne figure pas à l’actif.
è C’est le point de vue PCG
  • Sur le plan économique, on considère le C.bail comme 1 mode de financement particulier.
è C’est le point de vue du IAS.
Ainsi les biens en C.Bail figurent à l’actif, en contrepartie la dette financière = passif.
Exemple 2: Le cas des provisions réglementées : les dérogations
Ces provisions sont passées en fonctions des dispositions fiscales favorables à l’entreprise.
687 DAP Excep
            14 Prov règlementées (supplément d’amort qui gonfle les Kx propre)
8.      Neutralité du comptable face aux options qui peuvent faire augmenter ou diminuer le résultat
9.      Exhaustivité >< importance relative
10.  Comparabilité, il existe des changements qui vont empêcher la comparaison des comptes d’une année sur l’autre.
Il y a 2 types de changement
·         Méthode comptable,
·         Fusion acquisition c'est-à-dire les changements de périmètres.

Pour permettre la comparabilité des comptes  en cas de changement on établit des comptes PRO FORMA.
Exemple : Evolution du CA d’un groupe


N
N-1
CA
800
1000

Le groupe a cédé une filiale le 1/1/N
Le CA n-1 tient en compte du CA de la filiale, pas celui de N.

Pour pouvoir comparer les 2 CA, on est obligé de recalculer sans le CA de la filiale, le CA n-1


N
N-1
N-1 Pro forma
CA
800
1000
730
Entre N-1 et N on a une augmentation du CA de + de 10%.
On peut donc dire qu’à nombre de filiale constant, le CA augmente de 10%.

Remarque : Transition le 1/1/05, des normes du PCG vers les IAS.
Pour comparer les compta 2004 et 2005, on a établi des comptes 2004 sous IAS.

Les 4 contraintes à respecter pour que l’information soit pertinente et fiable.

1.      Célérité, vitesse de publication des comptes.
2.      Rapport coût/avantage
3.      Equilibre entre les caractéristiques qualitatives
4.      Image fidèle/Présentation fidèle


Etude de cas 1

Question 3

  • Si elle fait partie d’un groupe
  • Car le PCG s’aligne sur les normes internationales


Exemple de convergence du PCG vers les normes internationales : les règles relatives à l’évaluation des actifs.


Old Rules
New Rules
Coût d’acquisition
Px d’achat net de RRR
Px d’achat net de RRR + escompte de règlement
Frais de démantèlement, d’enlèvement, restauration doit être incorporé.
Coût d’emprunt
Peut intégrer le coût de production
Peut intégrer le coût de production et le coût d’acquisition



Question 4

                                      Analyse du Bilan de Prosodie

IAS 1 n’impose ni format ni ordre de présentation :
-          La distinction éléments courants/non courants est recommandée sinon classement par ordre de liquidité,
-          Exemples d’éléments non courants : Immobilisations ; d’éléments courants : Stocks, créances, actifs financiers autres que participations.
Un minimum de rubrique à présenter (immobilisations corporelles, incorporelles, stocks… etc,)

PCG exige une présentation sous forme de tableau
-          Présentation obligatoire selon ordre croissant de liquidité,
-          Moins de rubriques obligatoires (exemples : les actifs biologiques, les actifs destinés à la vente…non présentés).

Rmq : Dans le PCG, notre système, c’est le principe de l’impôt exigible.
Dans l’IAS, on a l’impôt différé à l’actif mais aussi au passif.
Ces impôts différés, c’est la divergence entre résultat comptable et résultat fiscal.

Expl : Taxe sur voiture de tourisme n’est pas déductible.
è Participation de N qui ne sera déductible que en N+1.
è Décalage temporaire = source de fiscalité différée.

Il y a 2 types de fiscalité différée :

Ø  Active :
L’entreprise a 1 créance sur l’Etat en participation
è C’est un impôt différé actif.
Ø  Passive :
L’entreprise est redevable envers l’Etat.
è Des charges ont été déduites du résultat imposable mais seront réintégrer plus tard.
C’est le cas de la subvention qui réintégrer dans le résultat au même rythme que ce fait l’amortissement qu’elle a servit à payer.
La fiscalité sur ce bien est vraiment échelonnée.

En ce qui concerne les provisions réglementées notamment les dérogatoires.
Expl : Fin N, résultat fiscal = 100 000€ dérogatoires de l’exercice = 10 000€.

L’enregistrement des dérogatoires baisse l’impôt en N. C’est un simple avantage de trésorerie qui ne va pas durer dans le temps car le dérogatoire est repris.

En l’absence de dérogatoire, le résultat aurait été de 110 000€. Donc IS = 110 000*33 1/3% = 36 600.
Avec le dérogatoire, le résultat aurait été de 100 000€. Donc IS = 33 333€

On gagne donc 3333€.


Cette dette future d’impôt est à réintégrer ainsi :


69 Charge d’impôt différé
     155 Prov pour impôt différé
3333

3333


Impôt différé passif = dette future d’impôt.
Impôt différé d’actif = Créance d’impôt


Provision pour pension et avantage = Engagement retraite.

Tout départ à la retraite donne lieu à une indemnisation qui sont obligatoire et d’autre facultative.
L’indemnité obligatoire l’est de part le droit et les conventions collective est versée par l’employeur.

Expl : 1 CC prévoit 1 mois de salaire pour départ sans activité
Une pension de retraite versée en complément de celles de la sécu et autres caisses de retraite.
è C’est une retraite sur complémentaire facultative versé par les grands groupes.

Comment on enregistre ces 2 cas :

Au fur et à mesure de son activité, le salarié gagne des droits et l’entreprise s’engage envers lui :
2 solutions pour cet engagement :
- Régime à cotisation définie. Elles sont versées à des caisses de retraite qui prennent en charge les prestations durant la retraite.
Sur le plan comptable : 645 Charges de sécu et prévoyance.
- Régime à prestation définie. C’est l’employeur lui-même qui va à l’échéance verser les prestation acquise par le salarié.
è Réel engagement de l’entreprise.
Sur le plan comptable, chaque année, les engagements retraites doivent être évalués et portés au passif.

Traitement comptable :
Sous PCG, il faudrait mentionner le montant des engagements en annexe.
Le CNC recommande l’enregistrement d’une provision au titre de ces engagements ; « 153 prov pour pension et obligatoire similaires ».
è C’est une méthode préférentielle.

Dans les comptes consolidés toujours de l’impôt différé.




                            Analyse du compte de résultat

Présentation du compte de résultat

Divergences et similitudes IAS 1/PCG

-          IAS 1 propose une présentation par nature ou destination (pas de méthode préférentielle).
-          Un minimum de rubriques à présenter (produits ; charges financières ;… etc,)
-          Attention particulière apportée aux activités abandonnées.
-          Disparition de la notion de résultat exceptionnel.
o   PCG autorise une présentation par nature ou destination (production, distribution et administration)
o   Rubriques minimales très proches.

Question 2

Prééminence de la réalité économique sur le droit.

A partir de 2005, les sociétés qui ont un bien en location financement doivent le mettre à l’actif du bilan.

Problème de l’annexe 2

Q1. IAS fait la différence entre :

-          Location simple : Pas d’option d’achat, donc sous IAS, on est en présence d’une charge.

-          Location financement : Il faut un certain nombre de critère pour qu’on puisse parler de location financement :

o   Transfert de propriété en fin de contrat.
o   La valeur de l’option de rachat doit être inférieur à la juste valeur du bien à la fin du contrat.
o   Période de location couvre la majeure partie de la durée d’utilisation du bien.
o   Valeur actuelle des paiements >= à celle du bien.
o   Transfert au locataire de la quasi-totalité des risques et avantages inhérents à l’utilisation du bien.
Si la maintenance ne fait pas partie des obligations du locataire du loueur mais alors on n’est pas dans un cas de location financement.

Traitement comptable :

-          PCG : Comptes individuel, dans les 2 cas c’est une charge.
                 Comptes consolidés, intégration du crédit bail financement, c’est la méthode préférentielle.
-          IAS/IFRS, intégration de la location financement.




Q2. Valeur du bien à l’actif et au passif ?

On prend  pour valeur la plus faible entre juste valeur et valeur actualisée des paiements minimaux du contrat en utilisant le taux d’intérêt implicite semestriel du contrat.

Nous i est donné = 5,59%

En actualisant les paiements minimaux au taux d’intérêt implicite du contrat, on obtient une valeur de :
10 000+∑(8 ;p=1) 26 000/(1+0,0559)^p + 25 000/(1+0,0559)^8=190287

Maintenant on compare entre la juste valeur (200 000) la valeur actualisée des paiements minimaux (190 287).
On prend la VAPM car c’est la plus petit.


Q3. Ventilation des décaissements, amortissement de la dette et charge financière.

Semestrialités constantes sauf dépôt en N et levée d’option en N+4.


Date
Flux (1) décaissement
Intérêts (2)
(4)*5,59%
Rembt 3=1-2
K restant du (4)




190 287
2/01/N
10 000
0
10 000
180 287
2/07/N
26 000
10 078
15922
164 365
2/01/N+1
26 000
9182
16812
147 553
2/07/N+1
26 000
8248,22
17751,78
129 801,26
2/01/N+2
26 000
7255,89
18744,11
111 057,16
2/07/N+2
26 000
6208,09
19791,91
91 265,25
2/01/N+3
26 000
5101,73
20898,27
70 366,98
2/07/N+3
26 000
3933,5
12066,5
48 300,5
2/01/N+4
51 000
2700
48300
0



26 000 + 25 000
 
 








Ecriture comptable à comptabiliser chez le preneur :

2/01/N
Matériel (actif)

190 287


Dettes fi (passif)

190 287
01/07/N (1ère redevance)
Dettes fi (passif)

10 000


Banque (actif)

10 000
01/07/N (2ème redevance)
Dette fi (bilan)

15 922

Intérets (comptes de résultat

10 078


Banque (actif)

26 000
31/12/N
DAP (compte de résultat) 190287/5

38 057


Amortissements des immobilisations (bilan)

38 057


Q4. Impact dur le résultat et sur le bilan.



PCG
IAS
-26 000
- 10 078
-38 057
- 48 135




Etude de cas 2   Convergences des normes comptables françaises vers les normes IAS/IFRS

Actif = entité qui a une valeur positive et dont l’entreprise attend des avantages économiques dans le futur.
èConcrètement, c’est un bien qui en enlevant les charges nous rapporte de la tune.
C’est les flux nets de trésorerie positif.

Passif = entité qui a une valeur négative.

Un peu de cours sur :

I/Approche par composant :

C’est de la comptabilisation des immobilisations par composants.
En général, les actifs sont souvent constitués d’éléments indissociables.
Dans la réalité, il est possible de dissocier un actif, un hangar peut être composé d’un mur et d’une toiture car ils ont des durées de vie différente.
è L’approche par composant c’est désormais la règle depuis 2005. (Dans le PCG dans le compte individuel).
Maintenant se pose le problème de quand et comment décomposer.
Il faut décomposer, c’est donc une obligation, mais on le fait chaque fois que les composants ont une durée d’utilisation différente de celle de la structure de base.
Mais aussi lorsque les composant procurent des avantages à l’entreprise selon un rythme différent. Les taux et les modes d’amortissement sont différents.

On distingue 2 types de catégories de composants :
·         Les dépenses de premières catégorie = Eléments qui sont destiné à être remplacé régulièrement.
·         Dépenses de secondes catégories = Dépenses de gros entretient ou de grande révision. Ces dépenses doivent relever d’une obligation légale ou d’une pratique habituelle et constante.

Expl :

Une société achète le 1/1/N :
-          une machine outil d’une valeur globale de 100 000€ ht.
-          L’équipement est composé de 2 éléments :
o   Elément A = Structure de base = 80 000€ et durée d’utilisation = 10 ans.
o   Elément B = 20 000€ devra être changé dans 5 ans.

L’équipement fera l’objet d’une révision totale tous les 5 ans pour un coût global de 3000 €.

Traitement comptable :

Quand on n’applique pas la nouvelle règle :

1/1/N
215 Matériel
100 000

4456
19 6000

           404

119600

-          Au bout de 5 ans, le renouvellement est une charge car il n’augmente pas la valeur et la durée de l’élément principal.
-          Pour la révision, il est possible de passer une provision pour grosse réparation.

1/1/jusque N+4
681 DAP
600

    15 Prov pour grosse réparation

600
(Détail d’une prov. pour un montant annuel de 3000/5 ans = 600)
En N+4 au bout des 5 ans d’utilisation, on reprend la provision pour 3000€ et on enregistre la dépense réelle de réparation.

Les applications approche par composant

Les cas A et B deviennent des composants séparés.
Pour la révision = option comptable, on a le choix :
-          on concidère que c’est un composant : On fait un amortissement spécifique et c’est la seule méthode conforme aux IAS.
-          on passe une provision

Si on prend la première option :

1/1/N
215 1Matériel A
80 000

215 2 Matériel B
20 000

215 3 Révision
3 000

4456 TVA déductible
19 600

4456 TVA à régulariser
588

         404 FR

120 188


Le composant révision :                                                                               
De N à N+4 on amorti la révision, soit 3000/5 = 600€ par an.
Au bout de 5 ans

31/12/N+4
2815 1 Amortissement
3000

          215 3 Matériel Révision

3000

Au moment de la révision

N+4
404 FR
3588

4456 TVA déductible
588

        4458 TVA à régulariser

588
          Banque

3588

Réinscription du nouveau composant.

N+4
215 grosse révision
3000

4458 TVA à régulariser
588

          FR

3588

Si on prend l’autre option

1/1/N
215 1Matériel A
80 000

215 2 Matériel B
20 000

4456 TVA déductible
19 600

         404 FR

119 600



RMQ : Pour les petits composants, ne pas les identifier si :
  • Valeur unitaire < 500€
  • Valeur unitaire < 15% du total (1% pour les immeubles)
  • Durée < 12 mois ou 80% de la durée de la structure de base.


II/ Coût et évaluation des immobilisations

Nouvelles règles d’évaluation des immobilisations
Since 2005, on doit faire rentrer dans un coût d’acquisition c’est :
  • Le prix d’achat net de RRR et d’escompte.
  • Coût directement attribuable à l’acquisition = Coûts engagés pour mettre l’actif en place comme l’installation, la livraison, les frais de démolition, les essais de bon fonctionnement, les honoraires de professionnels.
  • Frais d’acquisition = droit de mutation, les honoraires, commissions d’intermédiaires, frais d’actes. sur option on les intègre.
  • Coûts de démantèlement, d’enlèvement, de restauration de site. Ces coûts prévus doivent être incorporé au coût de l’actif. En contrepartie, au passif on fait figurer une provision. Pour ce coûts = plan d’amortissement spécifique.
  • Les coûts d’emprunts, cela est fait sur option. On peut les incorporer au coût d’achat. Cependant cela ne concerne que certains actifs comme les actifs qui exigent une conservation longue avant de pouvoir être utilisés. Donc les frais financiers liés à un emprunts pour un de ces actifs peut être affecter ou non à l’achat du bien.
  • Option globale = ^porte pour tout les actifs du même type.

Exemple d’application :

1 société achète un matériel d’une valeur de 120 000€.


Pour cette achat on ne fait pas d’emprunt spécifique (affecté). Cependant on a des dettes.
Banque A
20 000
7% =taux
Affecté à un camion
Banque B
30 000
8%
Non affecté spécifiquement
Banque C
100 000
9%
Non affecté

On laisse de coté l’emprunt affecté au camion car il est spécifique à l’achat du camion.

2 commentaires:

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